Points principaux :
Les salles de shoot
maintiennent la consommation de drogues plus
qu’elles n’éliminent le problème par une
réhabilitation vers une vie sans drogue.
Les drogues sont
illégales, car elles sont dangereuses du fait
qu’elles altèrent l’esprit des usagers,
engendrent des problèmes de santé,
raccourcissent la vie et causent la mort.
Les toxicomanes
achèteront leur drogue auprès de dealers leur
procurant ainsi de plus grands profits.
Les toxicomanes
commettront toujours des délits pour se procurer
l’argent qui leur permettra d’acheter la drogue
des dealers.
La criminalité
associée à la drogue sera seulement éliminée en
libérant les toxicomanes de la drogue.
Les overdoses
augmenteront du fait que l’accessibilité de la
drogue augmente son usage ; et le nombre de
morts augmentera aussi du fait de l’augmentation
des overdoses.
Les
non-toxicomanes ne meurent pas d’overdoses donc
pourquoi ne pas libérer les toxicomanes de la
drogue ?
Les
non-toxicomanes n’ont pas besoin de services
médicaux et hospitaliers, car ils n’ont pas
d’addiction.
Les drogués disent
qu’ils n’utiliseront pas les salles de shoot à
moins qu’elles soient sans contraintes pour eux.
Les toxicomanes
perdent toute rationalité et ainsi ne contrôlent
pas leurs décisions.
Qui sera banni des
salles de shoot (les enfants, les
consommateurs débutants, les toxicomanes
violents, les mères avec enfants, les
toxicomanes en état d’ébriété, les toxicomanes
suicidaires, etc.) ?
Les responsables
des salles de shoot assisteront-ils les
toxicomanes pour s’injecter des drogues lorsque
ceux-ci ne pourront pas visualiser leurs veines
ou se les injecter par eux-mêmes ?
Le partage de
drogue sera-t-il autorisé et combien de fois par
jour un toxicomane sera autorisé à utiliser la
salle de shoot ?
La police fermera
les yeux sur les dealers "locaux".
Combien d’impôts
seront utilisés pour indemniser les familles de
toxicomanes morts d’overdose ?
Les familles de
toxicomanes morts pourront-elles poursuivre les
responsables et le personnel de la salle
de shoot pour négligence ?
Quels types de
cocktail de drogues seront autorisés pour les
90 % de toxicomanes qui consomment plus d’une
drogue ?
Le nombre de
drogués s’étendra suite au discours
"rassurant" sur les salles de shoot du
gouvernement Hollande, car ouvrir des salles
de shoot c’est encourager les addictions, les
délits, les overdoses et la vente de drogues.
Les salles
de shoot ont fortement été critiquées par des
experts étrangers de renom, car ils augmentent
l’utilisation de drogues.
Les salles
de shoot vont rendre nos villes moins
attractives au tourisme, au commerce et à la
population locale.
Les drogues ne
sont jamais sures.
Solutions
alternatives :
Nous devons copier
d’autres pays comme la Suède qui a plus de
succès contre les drogues.
Nous devons nous
concentrer sur la désintoxication suivie d’une
réhabilitation
complète.