Les salles de shoot
n’empêchent pas les
toxicomanes de commettre
toujours des délits pour se
procurer l’argent qui leur
permet d’acheter leur
drogue.
Pire, grâce aux salles de shoot les dealers vendent plus de
drogues et en toute sécurité. Ceci, grâce au périmètre de
sécurité où la police ne doit pas intervenir (300 m autour des
salles de shoot).
Le discours "rassurant" sur les salles de shoot tenu par la
Maire de Paris et le ministre de la Santé ne risque pas de faire
baisser le nombre de toxicomanes. Ouvrir
des salles de shoot c’est encourager les addictions, les délits,
les overdoses et la vente de drogues.
Les salles de shoot ont fortement été critiquées par des experts
étrangers de renom, car ils augmentent l’utilisation de drogues.
En France, dans son rapport, l’INSERM s’est fourvoyé dans des
problèmes sociétaux.
Les riverains de la salle de shoot de Lariboisière
vivent eux les nuisances liées aux salles de shoot, au
quotidien, ils estiment leur quartier sinistré.
Les défenseurs des salles de shoot sont les mêmes qui réclament
la légalisation de toutes les drogues, recrutant par avance de
futurs utilisateurs pour les salles de shoot.
Sur un plan financier, ces salles
de shoot sont également un gouffre. La
ville de Paris et l’État sont surendettés, malgré ça, ils
veulent continuer à ouvrir d’autres salles de shoot (1 200 000 €
par salle de shoot).
Sur un plan financier, ces
salles de shoot sont également un gouffre. La
ville de Paris et l’État sont surendettés, malgré ça, ils
veulent continuer à ouvrir d’autres salles de shoot (1 200 000 €
par salle de shoot).
Les salles de shoot sont sensées encadrer la prise de drogue et
l’usage des seringues notamment, pourtant d’autres solutions
existent déjà !
Par exemple, par la libre disposition des seringues et
l’information des toxicomanes, l’injection de drogues n’est plus
responsable de contamination par le VIH ou les hépatites, depuis
de très nombreuses années la France est pionnière en matière de
réduction des risques. L’ouverture des salles de shoot n’était
pas un besoin sauf pour les associations qui en veulent toujours
plus. Quant aux overdoses, la naloxone administrable en tous
lieux et par quiconque, pallie une surdose de morphinique.
Ainsi disparaissent les justifications invoquées pour
l’ouverture des salles de shoot.
Si Mme Hidalgo tient tant aux salles de shoot, pourquoi
n’en ouvre-t-elle pas autour de l’Hôtel de Ville, il suffira de
déplacer les toxicomanes, comme cela se fait depuis plus de
30ans dans le Nord est parisien.
Signez cette pétition pour qu'à Paris comme ailleurs,
cessent les ouvertures de salles de shoot.
https://www.mesopinions.com/petition/social/stop-deploiement-salles-shoot/161192